vendredi 29 septembre 2017

Le chemin de l’Avenir

                           

      Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve. Il m’a déjà joué pas mal de tours. La vie me réserve probablement  encore pas mal de surprises, les  bonnes, j’espère.

    L’avenir apparaît pour moi comme à un taxi qui passe, par hasard, au détour d'un boulevard. On le hèle, il s'arrête. On y monte, et il vous fait faire un bout de chemin. En effet, nous voyons l’avenir par un seul côté, le passé nous apparaît sous plusieurs faces.

     Nous savons pas grand chose sur l'avenir mais il y a une chose dont je suis sûr c'est que je ne sais pas ce qu'il me réserve.
Je sais aussi qu’il me fera traverser des mauvaises comme des bonnes épreuves comme dans le passé.

      J'aimerai prévoir mon avenir et me dire que dans quelques années  je serai ceci ou cela et j'aurai tant d'enfants, mais je ne peux pas car  l'avenir est une inconnue. Pour preuve, il se définit par une négation : ce qui n'est pas encore arrivé, comme toutes les notions qui dépassent l'homme. Car le temps, lui même est immatériel, même si l'on le mesure en fonction de l'espace.

       Je ne peux que garder espoir sur ce que je veux et  sur ce que j'aimerai que ça se passe comme cela, mais je viens à peine d’avoir quelques vingtaines d’années, alors je ne sais rien de l'avenir sauf une seule chose c'est que je sais qu'elle me réservera de belles surprises comme des mauvaises.

        Mais tout est dans la façon de voir les choses si l'avenir me réserve une mauvaise surprise j'ai le choix de pleurer et d’abandonner, mais j'ai aussi le choix de prendre cette expérience comme une leçon apprise et de continuer  à croire et à persévérer.
        

vendredi 1 septembre 2017

Un long voyage vers le néant

       
     Certains disent que la vie est un long chemin paisible ou semé d’embûches, moi je dirai que la vie est une suite de déceptions et de douloureuses épreuves avec de rares moments de bonheur. Je me suis posé des questions : comment vivre avec une douleur et une tristesse qui vous transpercent le cœur chaque seconde qui passe sans vous laisser de répits et  pourquoi vivre si l'on a le sentiment de survivre??? 
Parfois j’aimerai tout lâcher pour pouvoir m'évader et essayer de fuir la réalité, mais lorsque je vois ma famille cela me redonne espoir d'y croire...
Tout va mal dans ma vie, pourtant je me bats, pour survivre ; besoin de parler, besoin d'être écouté, besoin d’être aimé mais personne ne le voit, personne ne le sais ! Je me mens à moi même, je pense aux quelques personnes qui m'aiment. 
Mais de plus en plus dans la tristesse je sombre, Je ne sais plus je me sens perdu je veux avancer, faire comme si tout allait bien, faire semblant pour ne plus souffrir et ne pas sombrer.
     Maintenant je ne suis plus tout seul et je ne peux pas tout laisser tomber, je dois me surpasser et enfin affronter ma douleur, il faut que je m'en sorte, que je surmonte cette tristesse envahissante qui depuis tant d'années me détruit de l'intérieur. Mais comment y arriver vu que je ne l'accepte toujours pas, mes larmes ne cesse de couler et je ne peux les arrêter, je ne sais plus je suis perdu, la vie m'est difficile à vivre.
      Je marche seule Personne pour guider mes pas.
Dans mon lit, la nuit je compte les heures et je sais que personne ne voit le chagrin qu'il y a au fond de moi, la douleur des nuits et ces cris que j'étouffe à chaque fois.
      Rien à faire, rien à dire, voilà ma vie depuis que tu es parti.
Je voudrai savoir comment faire, car pleurer fait si mal et survivre relève à présent du miracle.
      Faire semblant, trouver des excuses pour tout et rien à la fois, c'est plus que de se mentir a soi même.
Je n’ai pas envie d'expliquer pourquoi en ce moment je pleure, peut-être parce que je me sens étouffé.
      Je ne peux rien c'est comme ça et je ne peux le faire disparaître.
Je ne peux trouver le vrai bonheur, peut être je ne le trouverais jamais, je ne la vois que dans mes rêves : C'est un mal intérieur et je ne peux rien y faire.




Savoir servir les autres

Un père de famille fait volontiers l'aumône à un pauvre en donnant la pièce de monnaie à son fils pour qu'il la tende au mendian...